Il a fallu l’ouverture du procès du massacre du 28 septembre pour que la CPI accorde du crédit aux autorités de transition.

A travers son procureur Karim Khan, le bureau du parquet de la cour pénale internationale a signé avec la République de Guinée un protocole d’accord portant sur le bon déroulement du procès du massacre du 28 septembre 2009.

Dans ce protocole illustré en mémorandum constituant six 6 articles, certaines dispositions sont relatives à l’assistance technique de la CPI, au partage d’informations entre l’État guinéen et le bureau de la CPI sur l’évolution des audiences en faveur d’un procès juste et équitable.

Aussi, ce mémorandum d’entente peut être dénoncé par l’une des parties sous réserve de l’observation d’un préavis de trois (3) mois, mentionne ledit protocole d’accord.

Ci-dessous, le contenu du mémorandum d’accord :

Ci-dessous copie :