
Dans ce rapport de 36 pages présenté à la presse ce vendredi,15 mai 2020, le collectif d’ONG de défense des droits humains évoluant en Guinée dont les Même Droits pour Tous (MDT), Avocats Sans Frontière et l’OGDH déplore les perte en vies humaines survenues lors des violences ,occasionnées par les élections controversées du 22 mars dernier.
Selon ce collectif, environs 36 personnes ont perdu la vie au lendemain du double scrutin en région forestière sans compter les dégâts matériels importants et le nombre de blessés.
Même après, « beaucoup de tentatives auprès des autorités sanitaires à travers la Direction générale de l’hôpital Régional de N’Zérékoré, nous n’avons pas pu avoir le bilan médical. Par contre, au cours de nos enquêtes, nous avons pu enregistrer auprès des familles des victimes environs un total de 36 morts et une centaine de blessés », peut-on lire dans le rapport de monitoring.
Ce n’est pas tout, le collectif révèle une liste de 127 personnes arrêtées dont les droits n’ont pas forcément été respectés pour bénéficier pour de l’assistance d’un avocat conformément aux dispositions des lois nationales et conventions internationales ratifiées par le pays. Cilquez plutôt sur ce document: Rapport-du-Collectif-des-ONG-de-Défense-des-Droits-de-lHomme-GF-sur-les-Violences-Intercommunaiutaires-du-22-au-24-mars-2020-à-NZérékoré
Thierno Amadou Oury BALDE