Une nouvelle bataille judiciaire a été engagée ce lundi 16 novembre pour obtenir dit-on, la libération d’Ibrahima Chérif Bah, vice-président de l’UFDG, poursuivi pour « troubles à l’ordre public, menaces, destruction d’édifices publics et privés, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, troubles à l’ordre public par pillages et dévastation, incitation à la violence ayant entraîné des pertes en vies humaines, participation à la formation d’un Gouvernement parallèle ».
Il s’agit d’une procédure d’urgence en référé initiée auprès de la chambre de contrôle de l’instruction de la de la Cour d’Appel de Conakry par le collectif d’avocats de l’UFDG dont Maitres Salifou Béavogui, Alsény Aiassata Diallo et compagnie.
S’agissant d’Ousmane Gaoual Diallo, Etienne Soropogui, Cellou Baldé, Abdoulaye Bah, leur audition se poursuit encore. Ce qui pourrait être une surprise dans cette procédure, c’est s’ils sont exonérés, c’est-à-dire remis en liberté en dehors d’un contrôle judiciaire ou avant d’être placés en détention provisoire.
TAOB