A compter de  ce lundi 5 juillet 2021, une dizaine de détenus politiques de la maison centrale de Conakry entament une grève générale de la faim.

Les opposants écroués suite aux violences post-électorales du scrutin du 18 octobre dernier dénoncent le harcèlement et la séquestration dont ils sont victimes dans leurs cellules.

Pendant certains détenus politiques circulent librement dans la prison et bénéficient des soins de santé, d’autres sont privés de certains droits élémentaires. C’est ce qu’ils trouvent inacceptables dans leurs courriers adressés  au régisseur de la maison centrale .

A suivre !